Les restrictions prises dans de nombreux pays perturbent la fabrication et la livraison des préservatifs, laissant craindre une hausse des grossesses non désirées et des infections sexuellement transmissibles.
Des craintes pour les populations les plus pauvres
Le principal problème est de pouvoir livrer les préservatifs aux communautés les plus pauvres et les plus vulnérables, les plus à risque si les stocks sont épuisés. « Une pénurie de préservatifs, ou de n’importe quel contraceptif, pourrait déboucher sur une hausse des grossesses non désirées, avec des conséquences désastreuses pour la santé et le bien-être d’adolescentes, de femmes et de leurs partenaires et familles », a souligné le porte-parole. L’UNFPA craint aussi une hausse des avortements risqués et un bond des maladies sexuellement transmissibles, notamment du VIH.
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