Chemsex et slam : Késako ?
Ce sont des soirées privées alliant usage de produits psychoactifs et contexte sexuel ; Ce sont des pratiques assez répandues. Les sites et applications de rencontres, ainsi que les sites dédiés…
Ce sont des soirées privées alliant usage de produits psychoactifs et contexte sexuel ; Ce sont des pratiques assez répandues. Les sites et applications de rencontres, ainsi que les sites dédiés…
Selon l'INVS ( Institut de veille sanitaire) le nombre d' infections par les IST sont toutes en augmentation, surtout la blénnoragie (gonorrhée), la syphilis et les infections aux chlamydiaes. En…
C'est une nouvelle analyse de données de la Global Burden of Disease Study 2015, sur l'évolution de l'incidence de l'infection à VIH dans le monde La conclusion n'est pas très…
Les hépatites virales sont dues à l’un des six virus : A, B, C, D, E et G. L’hépatite B et C constituent l’une des formes les plus graves d’hépatite…
Par Eric Favereau — 17 juillet 2016 http://www.liberation.fr/ Alors que s'ouvre ce lundi la conférence mondiale sur le sida en Afrique du Sud, Michel Sidibé, directeur de l'Onusida, fait le point…
par Jonathan Herchkovitch : Publié le 17.07.2016 http://www.pourquoidocteur.fr/ L'épidémie de VIH risque de repartir dans le monde, avertit l’ONU. Elle met notamment en cause la Fédération de Russie où les nouvelles contaminations…
Cette étude, nommée HPTN 052, a démarré au cours de l’année 2005. 1 760 couples séro-discordants, c’est-à-dire où un conjoint est séropositif et l’autre non, ont été suivis jusqu’à aujourd’hui. Le traitement antirétroviral a été engagé selon deux protocoles : la moitié des personnes infectées par le VIH a reçu les médicaments dès le diagnostic, alors que leurs lymphocytes étaient préservés ; l’autre moitié a bénéficié du traitement après une légère chute des lymphocytes.
Au cours du suivi, 78 partenaires ont été contaminés par le VIH. 46 cas étaient liés aux relations au sein du couple. 3 seulement appartenaient au groupe où le traitement était initié tôt. Ces résultats montrent donc que les antirétroviraux fournissent une protection fiable et durable contre le virus. En cela, ils pourraient constituer un nouveau volet de l’approche TASP (treatment as prevention), qui consiste à proposer les médicaments aux personnes séropositives en prévention d’une éventuelle transmission.
96 % de transmissions en moins
Les chercheurs ont chiffré le bénéfice apporté par une initiation rapide des antirétroviraux. Par rapport à une prescription retardée, le risque de contamination est réduit de 93 %. En effet, lorsque la réplication du virus dans l’organisme est interrompue, cette transmission n’a plus lieu. Ainsi, les transmissions effectives étaient 96 % moins nombreuses.
« L’étude HPTN 052 confirme le besoin urgent de traiter les personnes infectées par le VIH dès le diagnostic, afin de protéger leur santé et la santé publique », estime Myron Cohen, co-auteur de l’étude, qui salue l’investissement des participants et de ses collègues chercheurs.
Article paru sur « 20 minutes » publié le 05/07/2016
Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir. Mais là où il y a un risque inutile d’attraper une infection sexuellement transmissible (IST), il n’y en a pas vraiment non plus. D’où l’importance d’avoir des rapports sexuels protégés. Si le port du préservatif en cas de pénétration et, dans une moindre mesure, de fellation, est entré dans les mœurs, l’usage de moyens de protection en cas de cunnilingus ou d’anulingus l’est nettement moins. Pourtant, les risques d’attraper des IST lors de ces rapports bucco-génitaux sont bien réels. Mais il est il est possible de s’en protéger. Comment ? En utilisant une digue dentaire. Oui oui, une digue dentaire. Si vous ne connaissiez pas, pas de panique, on vous explique le schmilblick. (suite…)
Depuis plus de 40 ans la politique des drogues internationale vise à protéger notre société des stupéfiants. Elle s’évertue à éradiquer l’offre afin d’assécher la consommation et les risques sanitaires et sociaux qui lui sont associés. A travers des conventions internationales, les états s’engagent à réguler la production et le commerce licite de stupéfiants (médicaments), mais aussi à réprimer le trafic illicite ainsi que les usages non-médicaux, la fameuse « Guerre à la drogue ». La répression des usages non-médicaux interroge dès 1980, Jean Carpentier, médecin généraliste : « une guerre avait bien lieu, mais qui était donc « l’ennemi » ?1 » Lorsque l’ennemi est le consommateur de substances illicites, cela devient une guerre aux drogués. (suite…)
A l’occasion du Candlelight Day 2016 en France, journée en hommage aux personnes disparues qui vivaient avec le VIH, plusieurs associations et militants se sont réunis pour un temps de…